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Sehab

La fresque déployée dans la rotonde est inspirée par la part d’ombre qui fait la ville. Hormis qu’elle donne de la profondeur aux choses, l’ombre est d’abord le signe du vivant, une forme sans ombre n’existant que comme spectre ou fantôme.

Entre immersion et projection, Rébecca combine peintures, dessins mots et objets pour donner corps à la superposition des couches qu’elle perçoit dans la ville. Ici, le beldi local s’approprie tous les supports pour déploer son inventivité tant mystique que matérialiste.

L’artiste capte les détails d’architecture, des scènes de vie, fait émerger des bribes d’évènements historique, ...

Restitués à des échelles différentes et décalées, tous se combine pour raconter la profondeur de la ville, vivante et transitoire.

 

texte de Martine Michard

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Sehab //
installation de peinture murale et de dessins à l'encre de chine et fusain sur papier //
vue de l’exposition, à l’institut français de Casablanca, Maroc // 2019

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L'ombre de Casablanca // 

Enregistrements vocaux de témoignages de  casablancais // 2019

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